Revue du monde musulman, 1994. - 18 p.
Pendant longtemps les linguistes se sont interrogés sur la disparition de toute trace d'une langue précédente, punique, latine ou grecque, dans la topo nymie maltaise
1. De même, les archéologues se sont étonnés de l'absence de restes de la période arabe à Malte, les plus anciens vestiges remontant à l'époque où les Normands avaient déjà repris l'Archipel aux Arabes.